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Homelie Du 7 Juillet 2019

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Ce cadeau peut-il être autre chose que le bonheur de Jésus lui-même? Aussi est-il bon de laisser ce mot, c [... ] 07 juillet 2019 Année C - 14e dim. ordinaire année C - 14e dimanche, 7 Juillet 2019 Isaïe 66, 10-14 - Gal. 6, 14-18 - Luc 10, 1-20 Homélie du islain Les lectures que nous avons faites nous annoncent la paix et l'avènement du Règne de Dieu. Puisqu'elles nous sont faites aujourd'hui, c'est qu'elles nous concernent. Comment cela? Que pouvons-nous donc faire de telles annonces aujourd'hui? Il semble bien que, au lieu de la paix, nous avons la violence. Tout, en réalité, nous parle de violence. La violence des guerres, dont l'une ne cesse que pour laisser la place à une autre, avec tout ce que cela entraîne de morts d'hommes et de dép [... ] 30 juin 2019 Année C - 13e dim. ordinaire Année C - 13e dimanche TEMPS ORDINAIRE - (30/06/2019) (1R 19, 16b. 1+9-21 – Ps 15 – Ga 5, 1. 13-18 – Lc 9, 51–62) Homélie du Frères et sœurs, vous n'avez sans doute pas eu de mal à mettre en relation la première lecture de ce dimanche et l'évangile.

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  2. Homélie du 7 juillet 2019 - Paroisse St Louis-Marie en Brocéliande
  3. Homelie du 7 juillet 2011 relatif
  4. Homélie du père Paterne, 6° dimanche Pâques C – Doyenné de Lons-Le-Saunier
  5. Homelie du 7 juillet 2013 relatif

Homelie du 7 juillet 2011 c'est par ici

Puissent-elles trouver en cette célébration réconfort et espérance. Voilà 75 ans que ces 75 personnes ont été victimes du nazisme. La volonté commune qui animait tous ces jeunes maquisards était des valeurs humaines universelles de fraternité, de bon sens humain comme l'on en trouve encore dans nos campagne, de respect de la personne humaine dans ses différences de culture de religion et d'opinion, tout le contraire de ce qu'était le totalitarisme nazie. Et pour ces jeunes, leurs parents et amis il était intolérable qu'une idéologie impose à leurs habitudes ancestrales une autre manière de vivre: raciste, antisémite et contraire aux valeurs chrétiennes et humanistes qu'ils avaient reçu dans leur enfance. C'est pourquoi comme de vaillants soldats ils se préparaient à se battre contre une telle idéologie. Pour défendre la vie, la vraie vie, celle dont ils avaient hérité. 75 ans cela parait très loin, cependant le mal est toujours à notre porte. L'Evangile que nous avons entendu, nous dit que le Seigneur désigna encore 72 disciples pour les envoyer.

Le prêtre a poursuivi son voyage jusqu'à l'endroit où il allait célébrer l'Eucharistie et d'autres sacrements. Mais au cours du voyage, des doutes surgirent et il commença à se demander si ces gens l'attendaient encore. Là-bas, dans ce village, dans cette maison? Il doutait qu'ils soient encore là ou qu'ils soient rentrés chez eux. Alors qu'il s'approchait de la maison où il devait célébrer l'Eucharistie, il remarqua que la lumière était allumée. Aha! pensa-t-il. Ils sont toujours là. Il a donc commencé à réfléchir à ce qu'il allait leur dire pour se justifier: « Qu'il s'excuse beaucoup auprès d'eux d'être en retard de 5 heures... qu'il y a eu un déluge.... que sa voiture était enterrée dans la boue, que ce n'était pas sa faute, etc.... De plus, quand il s'est approché, il a entendu un chant joyeux. Il a vu les gens qui l'attendaient toujours et chantaient avec une grande joie. Quand il est entré, il a vu tout le monde présent. Il a été surpris. Il a commencé à s'excuser auprès d'eux d'avoir 5 heures de retard, et a commencé à leur expliquer... qu'il pleuvait...... que sa voiture était immobilisé dans la boue, que ce n'était pas vraiment sa faute, etc.... Et lorsqu'il se justifiait ainsi, à un moment donné, une vieille femme (une grand-mère), (avec un foulard sur sa tête), a dit des mots que le prêtre n'oubliera jamais pour le reste de sa vie.

Homélie du 7 juillet 2019 - Paroisse St Louis-Marie en Brocéliande

Textes du 14 ème dimanche du Temps Ordinaire: (AELF) Première Lecture: Is 66, 10-14c Deuxième Lecture: Ga 6, 14-18 Evangile: Lc 10, 1-12. 17-20 20 ans de sacerdoce du Père Yannick et 10 ans de sacerdoce du Père Kamil. Départ du Père Kamil (en Pologne) et du Père René (à Mordelles près de sa famille) Homélie du Père Kamil Permettez-moi de vous raconter une histoire vraie. Mon collègue, un prêtre de mon archidiocèse, a travaillé en Sibérie pendant près de 20 ans. Une fois il m'a raconté cette histoire. Un jour, il s'est rendu dans un village situé à des centaines de kilomètres de sa paroisse. Il y avait un orage sur la route et une terrible tempête de pluie. En raison de la pluie diluvienne, sa voiture a été ensevelie dans la boue et il n'a pas pu continuer son voyage. Sous cette pluie, sous cette pluie diluvienne, il s'est rendu au village le plus proche pour demander de l'aider. De gens bons et serviables ont pris le tracteur et ont sorti sa voiture de la boue. Tout cela a duré plusieurs heures.

« Dieu est femme, Dieu est mère, toutes et tous missionnaires! » Toutes et tous disciples missionnaires De cette joie de l'Écriture et de l'Évangile, nous sommes toutes et tous porteurs. Nous savons que les 12 apôtres étaient des hommes. Mais les 72 disciples envoyés deux par deux en avant du Seigneur? N'y avait-il pas parmi eux des disciples femmes? Les groupes de femmes entourant Jésus étaient en tous cas nombreux, notamment chez Luc, l'évangile le plus féministe des quatre, encore plus que le 4e que nous avons étudié durant la session de l'ABC. Quoi qu'il en soit de la réalité historique de l'époque et de la théologie actuelle des ministères en Église catholique, réservant aux hommes mâles seuls l'ordination sacerdotale et diaconale (et donc épiscopale), ce qui ne peut être mis en cause par aucun clerc, même traditionaliste rétrograde et figé, c'est que d'une part, le pape actuel souhaite ardemment que davantage de postes à responsabilités dans la société et dans l'Église soient attribués à des femmes, il le dit dans Evangelii gaudium.

Homelie du 7 juillet 2011 relatif

  • Textes et homélie du 7 Juillet 2019 - Paroisse Saint Vincent en Val Lamartinien
  • Homélie du 7 Juillet 2020: Évangile et Parole Du Jour - Messa del Papa
  • 7ème dimanche de Pâques – Année C – 29 mai 2022 – Évangile de Jean 17, 20 – 26 – Résurgences

par Jean-Paul Berthelot, diacre Aujourd'hui les textes nous rappellent que chacun de nous a la responsabilité d'annoncer le Royaume de Dieu. Nous devons témoigner, comme le dit Isaïe, avec « plein d'allégresse » Nous ne sommes pas envoyés pour convertir mais pour montrer aux gens que nous les aimons et que nous voulons leur apporter la paix. Oui c'est par notre façon de vivre que nous transformons les gens. Comme le dit Paul aux Galates ce qui compte, c'est que vous êtes devenus par votre baptême un création nouvelle réalisée dans la mort et la résurrection du Christ. Le baptême est une nouvelle naissance qui nous fait entrer dans la vie éternelle. Nous devenons un homme nouveau. Avec le Christ au cœur de notre foi, nous sommes ainsi plus forts pour affronter les tentations de toutes sortes. Cette paix intérieure qui nous anime est un bien précieux: ne la gardons pas pour nous mais partageons-la avec toutes les personnes que nous rencontrons. Paul souhaite « paix et miséricorde pour l'Israël de Dieu » Jésus demande à ces disciples, en tout premier, de souhaiter la paix aux gens qui les accueillent: « Dans toute maison où vous entrerez, dites d'abord: Paix à cette maison » Oui, il n'est pas facile d'annoncer la Bonne Nouvelle du Christ ressuscité dans notre monde matérialiste où une majorité de personnes pensent que l'on peut se passer de Dieu.

Homélie du père Paterne, 6° dimanche Pâques C – Doyenné de Lons-Le-Saunier

De pied en cap, les disciples, dans leurs relations horizontales, sont pris dans le grand élan de la prière où le Fils les entraîne vers le Père. « Je prie non seulement pour ceux qui sont là mais encore pour ceux qui accueilleront leur parole et croiront en moi. Que tous, ils soient un, comme toi, Père, tu es en moi et moi en toi. Qu'ils soient un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m'as envoyé. Je leur ai donné la Gloire que tu m'a donnée pour qu'ils soient un comme nous sommes un. Que leur unité soit parfaite: ainsi le monde saura que tu m'as envoyé et que tu les as amés comme tu m'a aimé. La foi ne fondra pas au rythme des millénaires. La prière du Fils glorieux dynamise la totalité des croyants jusqu'au dernier jour du monde. Je prie mal et trop peu mais le Seigneur prie pour moi, et chacun de nous. Unique intention: l'unité. Pas une bonne entente polie, pas un traité de paix vite bafoué, pas une poignée de mains furtive. Mais UN comme PÈRE et FILS sont UN. Tant que nous n'acceptons pas cette divinisation des relations, la violence l'emportera toujours.

La méfiance, l'exclusion, l'isolement et l'indifférence ne peuvent que conduire à la violence et aux conflits. Être chrétien, c'est partager la vie des gens autour de nous. Le Christ nous demande de nous adapter au mode de vie de celles et ceux qui nous reçoivent. Les différences culturelles ne doivent pas interférer avec l'amour que nous avons pour les gens. Le christianisme n'est pas une religion de vœux pieux mais d'entraide, de fraternité et de partage. Nous devons être proches de ceux qui sont seuls et accompagner les malades. Nous ne sommes pas envoyés en mission pour recevoir des honneurs mais parce que nous sommes aimés du Père: « Réjouissez-vous, parce que vos noms sont inscrits dans les cieux » Que le Seigneur, par cette Eucharistie, nous donne la force et le courage d'annoncer sa venue par notre manière de vivre. Dieu fera le reste. Bernadette Soubirous disait: « je ne suis pas chargée de vous faire croire mais de vous l'annoncer » Amen.

Homelie du 7 juillet 2013 relatif

» LES MOTS DU PAPE La compassion vous fait voir les réalités telles qu'elles sont; la compassion est comme la lentille du cœur: elle nous fait vraiment comprendre les dimensions. Et dans les Évangiles, Jésus est souvent pris par compassion. La compassion est aussi le langage de Dieu. Notre Dieu est un Dieu de compassion, et la compassion est – nous pouvons dire – la faiblesse de Dieu, mais aussi sa force. Ce qui nous donne le mieux: parce que c'est la compassion qui l'a poussé à nous envoyer le Fils. La compassion est un langage de Dieu. Et ici, si la compassion est le langage de Dieu, le langage humain est souvent l'indifférence. Prenez en charge ici et ne pensez plus. Indifférence. Combien de fois regardons-nous ailleurs … Et ainsi nous fermons la porte à la compassion. On peut faire un examen de conscience: est-ce que je regarde habituellement ailleurs? Ou est-ce que je laisse le Saint-Esprit m'emmener sur le chemin de la compassion? Ce qui est une vertu de Dieu. (Santa Marta, 17 septembre 2019)

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Alors, lavés et nourris, les disciples reçoivent le commandement nouveau: « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés ». Ne rivalisez plus entre vous, ne cherchez plus la grandeur et le faste. Tout au contraire acceptez d'être une communauté fragile et poreuse où, hélas, certains claquent la porte et trahissent leur premier attachement. Et où il arrive même au premier responsable de renier le Maître. Lavés, nourris, instruis de l'axe nouveau de leur vie, conscients de faire partie d'une Église faible et pécheresse, les disciples peuvent ensuite recevoir la lumière de leurs cœurs et de leurs têtes: 3 longs chapitres d'enseignements (14-16) qui les consolent, les mettent en garde contre la haine du monde qui va se déchaîner contre eux. Mais qui aussi les rassurent grâce aux promesses de la venue certaine de l'Esprit-Saint qui les confortera, les instruira, les défendra. Alors, après qu'il ait lavé, nourri, prévenu, consolidé ses disciples, après qu'il les ait longtemps regardé avec tendresse, Jésus lève les yeux aux ciel et murmure sa grande prière.

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